Bienvenue sur le blog de Gangs of Golgoville, le supplément post-apocalyptique pour Golgo Island.
Golgo Island est un jeu d’escarmouches dynamique utilisant le WarEngine, l’excellent moteur de jeu créé par Aaron Overton. Lancé fin 2007, Golgo Island est le jeu qu’il faut à l’amateur de nanars et d’action rocambolesque. Que ce soit le Pulp pur et dur, la science-fiction en noir et blanc, les explorations au pays des dinosaures, la chasse au zombie qui pue, l’espionnage en smoking ou un cocktail capiteux de tout cela, Golgo Island vous l’offre sur un plateau, et pour pas un rond, ce qui n’est pas cher.
Gangs of Golgoville, qui sortira cet été, rajoutera encore une louche de subtilité à vos parties. De nouveaux personnages au charisme improbable, de nouveaux scénarios, des règles pour jouer des monstres gigantesques aussi terrifiants que le redoutable Hamster Géant Zombie, des véhicules qui font vroum et tacatac, et diverses vacheries vous permettant de retranscrire dans vos parties l’ambiance si particulière de vos séries-Z favorites la main à la canette.
Entièrement compatible avec toutes les précédentes règles pour Golgo Island (et toujours aussi gratuites), Gangs of Golgoville vous offrira un séjour radieux-actif dans l’enceinte d’une ville dont l’architecture audacieuse et la politique sociale avant-gardiste ont été brutalement ruinées par un cataclysme effroyable. En proie à l’anarchie, au chaos, aux épidémies, aux radiations et à la vie chère, gangs de sales punks, héros, méchants et figurants en costumes idiots s’affrontent pour survivre et vaincre, défiant la fatalité d’un poing rageur et porteur d’un renouveau plus ou moins prometteur pour le futur. Un futur de carton pâte, de fourrure, d’étincelles et de gadgets chromés ; un futur où l’on sent la sueur, le sable, le cuir racorni et l’huile de coco ; un futur où mitrailleuses à plasma et rayons à neutrons sont la réponse à l'hégémonie du ninjitsu et du kickboxing ; un futur où science et culture, comme Dieu au crépuscule du 6e jour, préférèrent s’arrêter à l’apogée des années 80s.
Préparez-vous à mettre 5 balles dans le monnayeur et à appuyer sur Start, la gloire vous attend!
Welcome to the Gangs of Golgoville blog, the blog dedicated to the post-apocalyptic supplement to Golgo Island.
Golgo Island is a fast paced skirmish game using the WarEngine, the excellent universal game system by Aaron Overton. Launched late 2007, Golgo Island is the game you want for over-the-top B-Movie action in your favourite settings: Pulp, retro sci-fi, lost world exploration, zombie hunting, espionage - or a tasty mix of the above!
Gangs of Golgoville, due out this summer, will allow you to toss even more refined madness into you games… New colourful characters and henchmen, new scenarios, rules for scary giant creatures such as the dreaded Giant Zombie Hamster, noisy vehicles, and various dirty tricks to help you recreate the atmosphere of your favourite low-budget action stinkers with a can in your hand.
Entirely compatible with all existing Golgo Island material -and just as free-, Gangs of Golgoville will take you to a city that used to be a model of audacious architecture and inventive social policy before it was struck by an unprecedented disaster. Surrounded by anarchy, mayhem, plague, and radiation, dirty street gangs, white-teethed heroes and ugly villains clash for survival and domination, challenging fate with a raging fist for an arguably better future. A future made of cardboard, fur, sparks and shiny gadgets ; a future where people smell of sweat, sand, worn out leather and coco oil; a future where plasma weapons and neutron guns endanger the supremacy of ninjitsu and kickboxing ; a future where science and culture seemed to stop at the apex of the 1980s, like God at the twilight of the 6th day.
Get ready to insert coin and press the Start button – glory’s awaiting!
Celui qui a le mieux avancé depuis la semaine dernière est le chasseur d'aliens qui puent qui sera sans doute baptisé Johnny Barracuda (ça rappellera un pseudo à quelques uns - pas à la personne dont c'était le pseudo puisqu'il ne lit pas ceci; le nom en tout cas colle bien et évite de faire croire aux foules que la figurine représente un personnage connu, fermez la parenthèse).
